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    Blog en pause pour raison médicale

    Bisous à toutes et tous et bonnes vacances

     

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    Un conte où un petit nuage décide de prendre son destin en main.
    Pour lui, pas question de finir en gouttes de pluie au milieu d’un ciel tout noir…
    Il va partir en quête d’autres idées de fin de vie qui lui conviennent mieux… Et il va trouver !

    Il était une fois un petit nuage qui s’appelait Elliot.
    Il était petit, tout blanc, avec de jolies formes rebondies…mignon à croquer !
    Un jour, il s’approcha d’un grand nuage blanc, et lui demanda :
    -« Dis-moi, grand nuage blanc, comment ça se passe la vie d’un nuage ? »
    Celui-ci lui répondit :
    -« Hé bien, c’est très simple, le nuage devient de plus en plus gros, il occupe de plus en plus de place dans le ciel bleu. Puis, un jour, le ciel s’assombrit, le tonnerre se met à gronder et de grands éclairs zébrés illuminent le ciel. Alors, le nuage se met à pleuvoir de grosses gouttes et il disparaît… Et voilà, ainsi se termine la vie du nuage. »
    -« Quoi ? Alors c’est comme cela que l’on finit ? En pleurant de grosses larmes dans un ciel tout triste ! Mais c’est horrible, je ne suis pas d’accord, je ne veux pas finir comme ça. »
    Et Elliot s’enfuit, apeuré et mécontent dans le grand ciel.
    Dans sa tête de nuage, il pensait :
    -« Non, non, non, et non, je ne veux pas devenir tout noir, et puis je n’aime pas les éclairs et le tonnerre… Ca m’éblouit et ça me fait mal aux oreilles ! Comment les autres peuvent-ils accepter un tel sort ? Je vais interroger le conseil des anciens, peut-être qu’il existe d’autres possibilités… »
    Il s’approcha de trois nuages grisonnants qui formaient un cercle dans le ciel :
    -« Bonjour vénérables anciens, je souhaiterais savoir quelles sont les différentes manières de terminer la vie des nuages ? »
    -« Voilà une question bien grave pour un jeune nuage comme toi plein d’avenir. Je vais tenter toutefois d’éclairer ton esprit curieux. Alors, voilà, un nuage se développe, grossit petit à petit, jusqu’à devenir fort et puissant. A ce moment-là, il change de couleur et explose en milliers de gouttelettes magnifiques. C’est une apothéose, une féerie de lumières et de sons, un moment magique… Vois-tu peu d’êtres peuvent se vanter d’achever leur existence dans une aussi éclatante et étincelante magnificence… »
    -« Ah je vois. C’est bien ce que je craignais. Hé bien, moi, je ne veux pas finir comme ça, je ne trouve pas ça beau du tout ! »
    -« Tiens donc… Mais tu n’as pas le choix, c’est ainsi et pas autrement, tu finiras comme tous les nuages de ce ciel ! » répondit sur un ton quelque peu agacé le nuage ancien, peu habitué aux objections, surtout venant d’un être aussi jeune.
    Elliot ne se laissa toutefois pas impressionné et rajouta même :
    -« De toutes façons, c’est sûr qu’en tournant continuellement en rond comme vous le faîtes, vous ne pouvez pas découvrir de nouvelles solutions et m’apporter d’autres idées. Pas étonnant que votre réponse soit quelconque … J’aurais mieux fait de m’adresser à quelqu’un d’autre. Pfff le conseil des anciens. Le conseil des gâteux oui ! »
    -« Oh mais quel insolent, je vais t’apprendre le respect moi ! Belle jeunesse ma foi ! » dit l’un menaçant en s’approchant d’Elliot.
    Mais le jeune nuage s’esquiva et à distance, prit la forme d’une grande langue qu’il leur tira de bon cœur, en guise d’au-revoir…
    Au loin, les trois vénérables sages étaient ulcérés. Elliot pouvait les apercevoir traversés de grosses vagues grises enflées par la colère et entourés d’éclairs cinglants.
    Satisfait de son effet, Elliot continua sa route. Il décida d’aller trouver directement le soleil. Lui au moins, saurait lui donner une bonne réponse. N’était-ce pas l’être puissant par excellence ?
    Mais le soleil lui fit cette réponse :
    -« Elliot, petit nuage, je ne peux rien pour toi. Certes, je brille de mille feux dans le ciel et je réchauffe les êtres… Mais parfois aussi, je dois laisser la place aux nuages, à la pluie et à l’orage. C’est ainsi, c’est le cycle des climats et c’est bien. Peux-tu imaginer combien seraient fades les saisons si un seul climat dominait tout le temps ? L’uniformité est triste, crois-moi. Tu es un nuage et tu participes toi aussi, à ce grand cycle. Vois ce que tu apportes au monde et tu te sentiras mieux… »
    Elliot entendit ces propos mais ne se sentit pas pour autant satisfait. Il quitta le soleil en se transformant en une grande main avec un foulard pour dire au-revoir, et poursuivit ses réflexions.
    -« Décidément, ce n’était pas très réjouissant tout ça. D’accord, chacun jouait son rôle, mais lui, Elliot, le petit nuage n’avait aucune envie de faire comme tout le monde. Et tant pis si ça ne s’était jamais vu, tant pis si ça ne plaisait pas ! »
    Il partit, déterminé, dans le ciel, à la découverte, et il verrait bien ce qui lui arriverait.
    Il grandit au fil de ses traversées du ciel et devint bientôt un grand et beau nuage blanc. Il se déplaçait avec aisance et aimait toujours à se transformer en des formes inédites.
    Parfois, il se changeait en tête de dragon, ou bien en long serpent sinueux, ou encore en grand requin des mers… Son imagination était sans limites et il en profitait au maximum.
    Il jouait de ses formes comme il jouait de la vie, sans jamais se lasser.
    Un jour toutefois, il repensa à sa fin. Il ne se sentait toujours pas prêt à devenir gris puis noir, pour lâcher ensuite toutes ses larmes.
    Ses voyages lui avaient appris qu’il existait quelque part le pays des vents. Le moment venu, il fut tenté d’aller vers cet endroit.
    En s’approchant, il vit au loin des grands tourbillons, des cyclones blancs gigantesques. C’était très beau. Elliot se sentit attiré et comprit que son choix de fin de vie l’avait amené ici.
    Oui, c’était ainsi qu’il finirait, emporté par le souffle, grandi, transformé et renvoyé à l’état de particules dans le grand ciel.
    Heureux, sans crainte, il s’approcha d’un cyclone. Il dessina un beau soufflet dans le ciel avant de disparaître, dilué dans l’immensité.
    Ainsi s’acheva la vie d’Elliot, le petit nuage qui avait choisi de ne pas finir en gouttes de pluie.

    Valérie bonenfant






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    *Au cours d'une querelle de ménage, une dame lance à son mari :
    - Tu sais, avant de t'épouser, j'ai reçu des demandes en mariage d'hommes beaucoup plus intelligents que toi …
    - Oh ! Je te crois sans peine, fait le mari. La preuve, c'est qu'ils n'ont pas fait l'erreur que j'ai commise.

    *Il aurait été récemment prouvé que la bière contient des hormones
    féminines...
    Ce qui fait qu'après dix bières, un homme ne sait plus conduire!
    Une autre preuve: un homme, un vrai, après avoir bu 5 litres de bières:
    - ne raconte que des conneries,
    - ne fait que se planter en voiture
    - a le ventre qui s'arrondit
    - a un comportement imprévisible
    - a facilement la migraine.

    *C'est l'histoire d'un petit poussin qui fait son jogging.
    Tout à coup, son chemin croise celui d'un serpent.
    Le poussin passe en courant devant lui et lui crie : Bonjour Chef !
    Penaud, le serpent le regarde sans rien dire ou faire. Le lendemain matin, la même scène se reproduit, et le poussin crie au serpent : Bonjour Chef !
    Le serpent n'a pas le temps de réagir et laisse passer le poussin.
    Le jour suivant, le poussin toujours à son jogging matinal, croise encore une fois le serpent et lui crie de nouveau : Bonjour Chef !.
    Le serpent lui répond : Hep ! Petit poussin, pourquoi m'appelles-tu chef ?
    Et le poussin lui répond : Oh moi, tout ce qui rampe et qui n'a pas de coui**es, je l'appelle Chef !!

    *Pourquoi les ouragans portent-ils des noms de femme ?
    Parce ce que lorsqu'ils viennent, ils sont agressifs et mouillés et lorsqu'ils quittent, ils emportent votre maison et votre auto.

    *Le péché originel en fait, c'est très simple : C'est une pomme, deux poires et beaucoup de pépins...

    *Savez-vous pourquoi les poissons chats s'ennuient dans l'eau ?
    C'est parce qu'il n'y a pas de poissons souris

    *Deux collègues déjeunent à la cantine de leur société.
    Au dessert, le premier, après avoir épluché sa poire, en aligne les pépins sur la table.
    Son copain s'en étonne, alors l'autre lui explique :
    - Tu ne sais donc pas que les pépins, mangés à part, rendent plus intelligent ?
    - Non, je ne savais pas...Je veux essayer !
    - D'accord ! Ca te coûtera 5 francs le pépin, il y en a 8, ça fait donc 40 francs...
    Le type paie et mange les pépins. Soudain, il fait une remarque :
    - Tout de même ! Tu me prends pour une truffe ? Pour 40 francs, j'aurais pu m'acheter plusieurs kilos de poires !
    - Tu vois, les pépins font déjà de l'effet !

    *La scène se déroule en Grande-Bretagne.Un homme dépose une pomme sur la tête d'un de ses amis puis recule d'une vingtaine de mètres, bande son arc, ajuste sa flèche, transperce la pomme et dit :
    - I'm Robin Wood.
    Même scène, mais à 60 mètres.
    - Une fois encore il transperce la pomme et dit :
    - I'm Guillaume Tell.
    Toujours plus fort, le voici cette fois à cent mètres de sa cible. Il bande son arc, ajuste, décoche sa flèche en plein entre les deux yeux et dit :
    - I'm sorry


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