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    A l'aube de nos nuits
    Aux portes du voyage
    Quand la faucheuse du temps
    Frappera à nos portes

    A l'aube de nos nuits
    Nous mettrons les volets
    Pour oublier demain
    Et tu me souriras

    A l'aube de nos nuits
    Tout comme dans nos jeunesses
    Tu me tiendras la main
    Ensembles vers demain

    A l'aube de nos nuits
    Mes yeux seront mouillés
    De nos larmes versées
    Trop souvent oubliées

    A l'aube de nos nuits
    Et tu me parleras
    Pour rester près de moi
    Ta voix se fera douce

    A l'aube de nos nuits
    Ensemble nous partirons
    Pour un très long voyage
    Une terre lointaine couverte de doux voilages...

     

    Numéro du détenteur - 00049736 

     

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    ©(¸.•´ (¸.•´ .•´ : (´¸.•*´¯`*•--> © Flo


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    Il était une fois un brave petit cordonnier qui faisait très bien les souliers. Toute la journée, il travaillait dur dans son échoppe mais les temps étaient difficiles et le petit cordonnier devenait de plus en plus pauvre de jour en jour. Un soir enfin, il découpa son dernier morceau de cuir pour fabriquer sa dernière paire de souliers. Il déposa les pièces sur son établi en attendant de pouvoir achever son ouvrage le lendemain, à la lumière du jour. Il prépara soigneusement aussi le fil et les aiguilles.
    "C'est ma dernière paire de souliers, soupira-t-il en mettant le volet à la fenêtre. Il me faudra bien tout l'argent de la vente pour nourrir ma famille, et je ne pourrai plus acheter de cuir. Mon Dieu, mon Dieu, que faire ?"
    Le lendemain, il se réveilla le coeur lourd et se dirigea tristement vers son établi. Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu'il y trouva, à la place des coupes de cuir, la plus ravissante paire de souliers qu'on puisse imaginer, admirablement cousue, avec les points les plus fins, les plus réguliers jamais vus. Le cordonnier n'en crut pas ses yeux : il ôta le volet et disposa les souliers dans la vitrine. Il était encore à se demander qui donc avait bien pu fabriquer pareille merveille lorsqu'un monsieur âgé, fort distingué, entra.
    - Je désire acheter ces souliers, déclara-t-il, et il paya sans hésiter quatre fois plus cher que ne l'espérait le petit cordonnier.
    Alors, au comble de la joie, celui-ci se précipita dans la rue pour acheter du cuir et de quoi nourrir toute la maisonnée durant plusieurs jours.
    Ce soir-là, il s'installa à son établi, tailla assez de cuir pour deux nouvelles paires, puis tout comme la veille, il laissa là les morceaux, prêts à être assemblés.
    Au matin, il fut plus étonné encore de trouver, achevés, quatre superbes souliers.
    "Mais qui donc est capable de travailler si vite, avec autant d'habileté ? ". Une fois de plus de riches clients lui en offrirent un prix considérable.


    Le cordonnier retourna acheter du cuir et le découpa à nouveau. Le manège dura plusieurs semaines : chaque matin, le cordonnier découvrait dans son échoppe deux, parfois quatre nouvelles paires et bientôt il devint célèbre dans toute la contrée pour la qualité de ses souliers.
    Mais sa curiosité s'accrut de jour en jour. Un soir, il n'y tint plus. Il décida de ne pas aller se coucher et, en compagnie de sa femme, il guetta derrière la porte pour surprendre les visiteurs nocturnes. Lorsque l'horloge sonna minuit, ils entendirent des pas menus et furtifs et virent deux tout petits hommes se faufiler par le volet, se précipiter vers l'établi, sortir de leur sacoche de minuscules outils et se mettre à manier avec dextérité l'aiguille et le marteau.
    Croyant rêver, le brave homme et sa femme se frottèrent les yeux car leurs visiteurs n'étaient pas plus gros que des aiguilles de cordonnier. Les lutins - car c'étaient bien des lutins - travaillèrent sans relâche toute la nuit et à l'aube, ils déposèrent sur l'établi deux nouvelles paires de souliers splendides. Puis ils rangèrent leurs outils, remirent tout en ordre et partirent comme ils étaient venus.
    Leur surprise passée, le cordonnier et son épouse se demandèrent comment témoigner leur gratitude aux lutins. Comme Noël approchait, la femme proposa de fabriquer de minuscules vêtements pour remplacer les pauvres haillons de leurs amis. Aussi, le lendemain, elle se mit à confectionner deux jaquettes vertes et deux petits pantalons, tandis que le cordonnier cousait deux minuscules paires de bottes.
    Le soir de Noël, ils déposèrent sur l'établi leurs cadeaux ainsi que deux petits verres de vin et une assiette de gâteaux et de sucreries, puis ils firent le guet.
    Les lutins se glissèrent dans l'échoppe et, à la vue des petits habits, ils dansèrent et chantèrent de joie. Ils les revêtirent, vidèrent les verres de vin et l'assiette de friandises, et disparurent en un clin d'oeil.
    Les jours qui suivirent, le cordonnier laissa chaque soir des morceaux de cuir sur son établi, mais les petits hommes ne revinrent plus jamais. Ils savaient que le couple les avait aperçus, parce que les vêtements étaient exactement à leur taille, et les lutins n'aiment pas être vus par les humains. Le cordonnier n'en fut pas vraiment fâché car sa boutique était désormais renommée ; la clientèle y affluait et les affaires étaient prospères. Certes, ses points n'étaient pas aussi parfaits que ceux des lutins, mais personne ne parut le remarquer.
    Plus jamais la famille ne fut dans le besoin et chaque année, le soir de Noël, tout le monde prit l'habitude de se réunir au coin du feu pour boire à la santé des lutins dont l'aide avait été précieuse quand la vie était dure.

     


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    A l’armée un commandant décide de mettre en situation ses soldats et demande :
    Vous roulez et tout à coup vous vous rendez compte qu’un hélicoptère vous suit. Qu’est-ce que vous faites ?
    Un des soldats dit :
    - Chef, je cherche un abris.
    Un autre dit :
    - Chef, je me cache sous la voiture.
    Le commandant n’est pas très satisfait des réponses attendu. Et là Toto prend la parole et dit :
    - Chef, je fais comme les femmes: je mets mon clignotant à gauche et je tourne à droite ! Les ennemis n’y verront que du feu !!!


    C’est Toto et deux amis qui discutent à la récréation de leurs papas fumeurs.
    Le premier dit:
    - Mon papa c’est le plus fort, il aspire la fumée par la bouche et la relâche par le nez !
    Le deuxième dit:
    - Encore mieux, mon père arrive à la recracher par les oreilles !
    Toto d’un aire vantard dit:
    - Mon papa est plus fort que vos papas, il arrive à aspirer la fumée par la bouche et à la recracher par les fesses !!!
    Les deux amis n’y croient pas du tout ! Ils demandent des explications à Toto.
    Toto sort alors un slip de son sac, le montre à ses copains et dit:
    - Et ça, c’est pas des traces de nicotine peut être !?!


    C’est Toto qui est en classe. La maitresse interroge les élèves pendant le cours de français.
    - Combien y’a t’il de lettres dans l’alphabet ?
    Comme toujours Toto lève la main et commence à répondre !
    - Il y a 8 lettres madame
    La maitresse s’étonne et demande à Toto de réciter pour compter les lettres.
    - Alors A, L, P, H, A, B, E, T… huit lettres madame !!!


    La nouvelle institutrice a envie d'inculquer des notions de psychologie à ses élèves.
    Elle s'adresse à la classe en ces termes:
    - Que celui qui a l'impression d'être stupide par moment se lève !
    Après une bonne dizaine de secondes, Toto se lève... de mauvaise grâce.
    L'institutrice:
    - Alors comme ça Toto, tu penses que de temps en temps tu peux être stupide ?
    - Non m'dame, mais ça me faisait de la peine de vous voir toute seule debout.


    Toto revient de l'école avec son bulletin. Des zéros partout.
    - Quelle excuse vas-tu encore me donner? soupire sa mère.
    - Eh bien! j'hésite entre l'hérédité et l'environnement familial.


    C'est Toto et un copain à lui qui discutent la valeur intrinsèque de leurs parents respectifs. Alors c'est le copain qui dit:
    - Ouais, eh ben ma maman, elle est meilleure que ta maman !
    Alors Toto réfléchit deux secondes et répond :
    - Ouais, j'pense que t'as raison, mon père dit la même chose que toi.

     

    Bon début de week-end à toutes et tous !

     


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