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Le pilote est juif.
Le copilote, lui, est chinois.
C'est leur premier vol ensemble.
Un silence de plomb règne dans la cabine de pilotage.
L'harmonie n'est pas au rendez-vous.
Une fois la vitesse de croisière atteinte, le pilote actionne le pilote automatique, s'enfonce dans son fauteuil et murmure :
« Les Chinois me font chier.. »
« Vous, pas aimer Chinois. Pourquoi ? » répond le co-pilote...
Le pilote : « Ils ont bombardé Pearl Harbour
« Non. Chinois pas bombardé Pearl Harbour, mais Japonais ! »
« Japonais, Chinois, Viets. Qu'est-ce que ça peut bien faire ? vous êtes tous pareils... »
Un autre lourd silence s'abat encore dans la cabine.
« Moi, pas aimer Juifs » murmure à son tour le Chinois.
« Ah oui, et pourquoi donc ?
Le chinois : « Juifs, couler Titanic ».
« Non, mais faut être malade : les Juifs n'ont jamais coulé leTitanic ! » dit le pilote,« C'est un iceberg qui l'a coulé ! »
Le chinois : « Iceberg, Goldberg, Rosenberg, Steinberg ... tous pareils !!! »
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Délectation soyeuse et baisers satinés
Roulis de caresses comme la mer sur le sable,
Le frisson qui me mène est celui qui l'ébranle
Le brasier du désir un songe impérissable.
Son flou de cachemire une injure à sa peau
Elle est le levant, quand l'occident se calme,
Quand sous sa blanche martre elle donne son agape
Il allume dès l'aube le brasier impensable.
Sous son chandail mohair charmante gourgandine
Allégorie du temps, puérils secrets,
En caresses flanelles les sibyllins de son corps
Sont comme des chemins hier insurmontables.
Avant d'être si près de ces discrets secrets
Les caresses mutines en valses de velours,
Et les ombres confuses tournent sur sa peau douce
Font palpiter son coeur en ondes de bonheur.*´¨ )¸.•´¸.•´¨) ¸.•*¨)©(¸.•´ (¸.•´ .•´ : (´¸.•*´¯`*•--> © Flo
Numéro du détenteur - 00049736
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Tu n'erres plus dans les voiles du matin
Sous la charmille cachée dans l'union de nos mains
Qui se couvre magistrale comme des effigies
Effarouche dans le soleil les oiseaux qui s'enfuient
L'égérie ne badine plus à l'entrée de la chance
Au fond de tes accords se révèle le silence
Tu ressembles à ces jours où s'étirent les larmes
Au fond de ton cœur sommeillent les armes
Sur tes rivages où dorment en secret
Quand viennent à se taire les rengaines d'hier
C'est peu à peu que tu quémandes la lumière
Tu fais en marchant fort voltiger le présent
Soudain coule la source des soieries
Et qu'au bout des doigts resurgit le brasier
Crinoline qu'on badine en rubans d'organdi
Roulis de nos deux corps par le temps empressés.
*´¨ )¸.•´¸.•´¨) ¸.•*¨)©(¸.•´ (¸.•´ .•´ : (´¸.•*´¯`*•--> © Flo
Numéro du détenteur - 00049736
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