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Avec le retour des beaux jours, avec la chaleur et souvent l'humidité, voilà revenu le temps des bestioles et surtout des moustiques qui vous laissent de douloureuses cloques
Voici une astuce pour les tenir au loin.
1. Prenez un citron vert, coupez-le en 2, ça marche également avec une orange.
2. Plantez-y quelques clous de girofle, et placez le tout au centre de la maison.
L'odeur est un répulsif naturel efficace que les moustiques détestent. Ça leur donne instantanément envie de quitter les lieux.
Cet insecticide naturel devrait vous permettre de retrouver des nuits tranquilles et reposantes.Mais vous allez quand même être piqué dans le jardin ou ailleurs, quand on s'en aperçoit, c'est déjà trop tard la sale bestiole est déjà bien loin d'ici. Et vous, vous restez avec votre piqûre qui se transforme en cloque et qui se met surtout à vous démanger jusqu'à vous donner envie de vous arracher la peau. Découvrez cette astuce qui marche à coup sûr !
Utilisez du vinaigre blanc: badigeonner un bout de chiffon propre et frotter délicatement la piqûre, celle ci va se calmer au cours d'un laps de temps très court.
Et en plus, ce n'est pas une dépense qui va vous ruiner, loin de là. Vous dépenserez beaucoup moins que si vous vous mettiez en tête d'acheter des lotions calmantes ou des produits dont vous n'avez jamais entendu parler mais que votre pharmacien se chargera bien de vous vanter.
Comme souvent, les substances chimiques, les emballages et les tests utilisés par ces laboratoires, qui veillent sur notre santé mais pas sur notre argent, nous sont facturés à des tarifs dépassant parfois l'imagination.
Quand je compare avec les quelques centimes que vous coûtera le vinaigre blanc, qui est au moins aussi efficace. Ca vous fait une sacrée économie.
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Il avait des jardins de fleurs pour embaumer sa tête
Des futaies, des taillis pour ombrer son grand cœur
Des ondes de bonheur, des rêves de sortilège
Et les gens médisants disaient de lui, c'est un rêveur
Quand il musardait aux berges de la rivière
Les bambins prenaient peur débinaient en le voyant
Mais il marchait tout seul sillonnait cette terre
La pensait toute à lui modelée par les vents
Il n’avait ni château ni même riche chaumière
Juste un coin de ciel bleu qui perçait par le toit
Pas de pendule non plus pour pilonner les heures
Faut croire qu'avec lui le temps ne comptait pas
Peut-être était-il fou ou tout simplement sage
Il m’arrive chaque jour de me le demander
Il n’était qu’un moineau un oiseau de passage
Que ses ailes trop petites empêchaient de voler
Un jour d'étourderie percuta la montagne
Surement pour aller une pervenche y cueillir
Il ne joignit jamais son rêve de Cocagne
Il est tant de montagnes que l’on ne peut franchir.
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©(¸.•´ (¸.•´ .•´ : (´¸.•*´¯`*•--> © Flo
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Dans le verger endormi
Il poudre d'une aigrette d'oiseau
Le vieux prunus engourdi
Qui soudain se sent arbrisseau
Il colore de boutons de roses
Le parterre qui soudain s'éveille
En voltigeant il tresse collerettes
Pour des milliers de jolies pâquerettes
Il éveille le merle qui siffle
Et renaissent les chants mélodieux
De son habile beauté babille
Et disperse les clochettes camaïeu
Dans un ballet de farandoles
Toute la terre soudain cabriole
Et tout chante le renouveau
Le printemps sait jouer du pipeau.
Numéro du détenteur - 00049736
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©(¸.•´ (¸.•´ .•´ : (´¸.•*´¯`*•--> © Floréédition
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