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    À l'aurore qui luit dans l'azur de la vie
    Romance qui se balade, c'est la vie puis la chance
    C’est le chant du printemps c'est l'air de l’espérance


    L'écume des vingt ans ne brille qu’une fois
    On le brigue on l’invente on en rit on le chante
    Début de l’amour, c’est le temps où l’on croit


    C’est le temps des copains, le temps des aventures
    En ouvrant la fenêtre on perçoit le soleil
    Même sous une ondée l'astre est bien présent


    Rien qu'un diapason, un verre à la terrasse
    C’est l’année des miracles c’est l’année du bonheur
    La fraîcheur des vingt ans la fleur de l'âge bleu


    Cueillis comme fleurettes dans le jardin des rêves
    Les premiers serments les premières promesses
    On rêve de mirages on est sur un nuage


    Quelques rubans de mots tressées dans un poème
    Le goût de la vie, a la saveur du vent
    On va au bout du monde il n’y a plus de frontières.

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    ©(¸.•´ (¸.•´ .•´ : (´¸.•*´¯`*•--> © Flo


    Numéro du détenteur - 00049736


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    Sous sa mantille angevine il perçoit il peint
    Et il macule il gribouille le gnome du jardin
    La niaiserie du bouquin les fragrances du matin
    L'arôme du bouton de la rose carmin
     
    Il retient de sa main le soleil qui s'entrouvre
    L'écharpe de Vénus le rythme du tambour
    Le rose qui foisonne la chambre après l'amour
    La belle qui s'endort, les caresses glamour
     
    La lumière de ses yeux la chandelle qui s'éteint
    L'amante sibylline la beauté de ses seins
    Il ratisse large et bleu de son pinceau écumeux
    Dans le verger du temps dans les cieux amoureux.

     

      Numéro du détenteur - 00049736 

     

     

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    ©(¸.•´ (¸.•´ .•´ : (´¸.•*´¯`*•--> © Flo 
     
     
     

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    Tu dors au fond de moi dans l'encre de mes mots
    Là où tes traces me guident, où naissent des ravines
    Le murmure du temps a couvert la clameur
    Abrogé l'intervalle des heures décalées
     
    Je ressens ton reflet longtemps après ton pas
    Mais je fais ton chemin tout en millions d'étoiles
    Je sais que tu ressens cet amour en nos chairs
    Ton corps sera pour moi comme une arme infaillible
     
    Sur tes rives gazouillent mes plus tendres écrits
    Palpite ce cœur ému de par ce doux rêveur
    Celui qui me fit femme égérie dans un cri
    Livrée de volupté embrume qui étourdit
     
    Quand nous serons là-haut, liés en paroxysme
    Amoureusement bénis dans un désir extrême
    Confusion de deux corps l'un à l'autre arrimés
    Je te caresserai pour que tout se ranime
     
    Éreintés de caresses, le cœur en-chaviré
    Ton corps contre ma peau nous dormirons ensemble
    Des rêves au fond des yeux bien engrangés d'étoiles
    Nous irons vers l'aurore tout assouvis d'amour.
     
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    ©(¸.•´ (¸.•´ .•´ : (´¸.•*´¯`*•--> © Flo
     
     
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